Sao Luis
J'ai profité du début des vacances de juillet pour faire un tour au Brésil avant de rejoindre ma région natale. Nous avions décidé (avec une collègue) de partir à Sao Luis. Dès notre arrivée nous avons été touchées par l'accueil chaleureux des ludivicences (habitant de Sao Luis). Protégées entre les maisons recouvertes d'azulejos (céramiques), nous avons erré dans les rues de cette ville qui a su conserver tant bien que mal son charme colonial (et oui, c'est parfois difficile de suivre le rythme des détériorations).
Sao Luis, c'est tout d'abord une ville de contraste:
Un environnement familial pour une citée d'un million habitants.
Un cadre plein de charme saupoudré de misère.
Un modernisme en pleine évolution coexistant avec des d'archaïsmes intemporels.
Une abondance inépuisable touchée par une misère envahissante.
Un sentiment de bien-être frôlé d'insécurité.
De superbes paysages d'une nature surexploitée (admirez les pétroliers à l'horizon!).
Ici, on ne perd pas son temps à se cultiver. C'est très difficile de dénicher une librairie, et impossible de trouver une personne parlant anglais, français ou espagnol, même dans les lieux les plus touristiques (sauf lorsqu'on rencontre des Brésiliens du sud). Heureusement, ils font preuve d'une patience d'ange lorsqu'il s'agit d'écouter nos bafouillages hispano-franco-brésiliens incohérents, et on parvient toujours à se faire comprendre.
Le Brésil, un pays d'avenir qui ne vit que dans le présent. Les Brésiliens sont je crois les spécialistes du "Carpe Diem". Fêtes, séduction, repas abondants, bière à volonté et caïpirihna bien dosées.
Ils profitent de tout ce qu'il ont à disposition! C'est à croire qu'ils ont peur de manquer. Mais attention, toujours sous l'oeil attentif de la religion.
Impossible de rester insensible à ces contrastes, et encore moins à cette population qui sait mettre tous ses charmes en valeur.
Sao Luis, c'est tout d'abord une ville de contraste:
Un environnement familial pour une citée d'un million habitants.
Un cadre plein de charme saupoudré de misère.
Un modernisme en pleine évolution coexistant avec des d'archaïsmes intemporels.
Une abondance inépuisable touchée par une misère envahissante.
Un sentiment de bien-être frôlé d'insécurité.
De superbes paysages d'une nature surexploitée (admirez les pétroliers à l'horizon!).
Ici, on ne perd pas son temps à se cultiver. C'est très difficile de dénicher une librairie, et impossible de trouver une personne parlant anglais, français ou espagnol, même dans les lieux les plus touristiques (sauf lorsqu'on rencontre des Brésiliens du sud). Heureusement, ils font preuve d'une patience d'ange lorsqu'il s'agit d'écouter nos bafouillages hispano-franco-brésiliens incohérents, et on parvient toujours à se faire comprendre.
Le Brésil, un pays d'avenir qui ne vit que dans le présent. Les Brésiliens sont je crois les spécialistes du "Carpe Diem". Fêtes, séduction, repas abondants, bière à volonté et caïpirihna bien dosées.
Ils profitent de tout ce qu'il ont à disposition! C'est à croire qu'ils ont peur de manquer. Mais attention, toujours sous l'oeil attentif de la religion.
Impossible de rester insensible à ces contrastes, et encore moins à cette population qui sait mettre tous ses charmes en valeur.